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TURKMÉNISTAN

8/06/2024

Le Turkménistan est bordé par le Kazakhstan au nord-ouest, l’Ouzbékistan au nord-nord-est et à l’est, l’Afghanistan au sud-est, l’Iran au sud-sud-ouest où nous passons la frontière. Achgabat est la capitale et la plus grande ville. Il est l’un des six États turciques indépendants.

En 1924, il est devenu une république constitutive de l’Union soviétique, la République socialiste soviétique du Turkménistan. Il a déclaré son indépendance pendant la dislocation de l’URSS en 1991. 

Achgabat est également nommée la ville blanche. Le Président a décidé que tous les édifices sont blancs et également toutes les voitures. Beaucoup de nouvelles constructions sont érigées et des routes à 6 voix sont construites dans la ville d’Achgabat. On a l’impression de visiter une maquette, tellement il y a peu de voiture et de personne. Probablement les nouveaux bâtiments sont vides. C’est très étrange de visiter cette ville et la réponse à ces questions, on nous dit que les gens travaillent ou sont en vacances ! Sa richesse, le pays l’a par des gisements de gaz.

Entrée sur Achgabat, après avoir passé la journée à la douane.
En ville d’Achgabat
Earthquakes mémorial statue, un immense parc à la gloire du pays où travaille une armée de petites mains pour l’entretien 24heures sur 24.
Un garde, un militaire et une nettoyeuse
Hôtel 5 étoiles
La nouvelle ville
Une des nombreuses statues
Traversée du désert de Karakoum l’autre réalité des habitants

La Porte de l’Enfer est un champ de gaz naturel situé à Derweze (également orthographié Darvaza, ce qui signifie « porte »), dans la province d’Ahal au Turkménistan. La Porte de l’Enfer est appelée ainsi à cause de son foyer de gaz naturel brûlant en permanence depuis qu’il a été allumé par des scientifiques soviétiques de la pétrochimie en 1971. Le feu est alimenté par les dépôts de gaz naturel riches de la région. L’odeur âcre de la combustion de soufre imprègne la zone.

Metting aux bords de porte de l’enfer
Le soir venu, le spectacle est magnifique, nous passons la nuit sur place.
Nous traversons le désert de Karakoum jusqu’à Daschauz à la frontière Ouzbékistan, sur une route complètement défoncée en opposition aux routes de la capitale. 296 kilomètres à 25 km/heures, plus de 11 heures et quelques dégâts sur les véhicules.