Chine partie 3

2/09/2024 : Nous quittons la Chine

La montagne Kongtong est l’une des montagnes sacrées du taoïsme Elle abrite des dizaines de pics spectaculaires. Elle est couverte de forêts denses qui s’étendent d’un pic abrupt à un autre. Avec son paysage abrupt et sa collection de vestiges culturels anciens, cette montagne vaut le détour, tant pour le paysage que pour la culture ancienne mais surtout pour ses escaliers à gravir

Sur la route

Le monastère de Labrang est l’un des six grands monastères de l’école Gelugpa du bouddhisme tibétain, dont le dalaï-lama et le panchen-lama sont les autorités spirituelles. Il est situé dans la ville de Xiahe , qui appartenait à l’ancienne province tibétaine traditionnelle de l’Amdo. Le monastère de Labrang est celui qui accueille le plus grand nombre de moines en dehors de la région autonome du Tibet. Situé à plus de 3’000 mètres d’altitude. Notre chauffage à mazout s’est mis hors service à cause de l’altitude.

En route ou plutôt en bateau pour la visite du Temple de Bingling. Nous remontons le fleuve jaune au milieu d’un paysage manifique. Le site est une série de grottes remplies de sculptures bouddhistes creusées dans des cavernes et des grottes naturelles dans un canyon. Il se trouve juste au nord de l’endroit où le fleuve Jaune, long de 5464 km, se jette dans le réservoir de Liujiaxia .

Mobilité électrique façon chinoise

On croisse un train rapide, le chine investi des sommes énormes pour le développement des trains. Lors de de notre voyage nous avons croisé de nombreux chantiers pour la construction de nouvelles lignes de chemins de fer.

Au restoroute

Peu de place pour croiser une aile d’éolienne, on en rencontre souvent sur notre route.

Deux mondes se regardent !

C’est la dernière fois que nous visitons la grande muraille. Le fort de Jiayuguan est aussi un lieu très visité. Après le parking, nous sommes accueillis dans un bâtiment où se situent les caisses. Pour prolonger la visite, nous sommes emmenés dans des chariots électriques sur environ un à deux kilomètres. Cela prolonge la visite et amuse-les chinois. Leurs Disneyland à eux !

Le fort est édifié au XIVe siècle, en 1372, sous la dynastie Ming. Il a été construit près d’une oasis qui était alors sur le bord extrême ouest de la Chine. À l’extrémité occidentale de la Grande Muraille, le fort constituait le dernier point chinois avant le désert de Gobi et servait de bagne aux bannis par l’Empereur. En 3 siècles d’activité sous la dynastie Ming, autour de 1.000 soldats au total sont estimés avoir occupé le fort.

Etape à Dunhuang et visite des grottes de Bouda

Sur la route de nombreux camions

Tout le monde poutze

En 2018, la Chine a relevé un extraordinaire défi : installer une ligne ultra-haute tension en courant continu de 1 100 kV qui traverse le pays. Permettant de répondre aux besoins en électricité de 50 millions de foyers, cette prouesse technique et logistique s’annonce comme une nouvelle encourageante dans un pays qui affiche un taux d’effacement mondial record. Nous avons croisé cette ligne. Comme c’est du courant continu, elle n’a que 2 câbles. Sur une distance de 3’293 km, cette ligne permet de transporter l’énergie produite dans le Nord-Ouest de la Chine vers l’Est.

Turfan est une ville-oasis située dans la région autonome ouighoure du Xinjiang, en Chine, la ville la plus chaude de Chine. Tourfan est depuis des siècles le centre d’une oasis fertile, production de raisins et une importante cité commerciale de la route de la soie. La ville est située au nord de la dépression de Tourfan, dont le point le moins élevé -154 m est à 50 km. Cette dépression, longue de 240 km, est réputée pour être « la chambre des vents de la Ch On y visite les ruines de la ville de Jiaohe.

La reine d’un jour !

Campement avec cinéma plein air.

La propreté est aussi bien organisée dans les lieux publics.

L’optimisation des transports avec un point fort sur les véhicules électriques.

Désert de Taklamakan) est un désert continental d’Asie centrale, dont la grande majorité de la surface se trouve dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang en République populaire de Chine. Il est surnommé la « Mer de la mort ». De forme ovoïde, ce désert occupe une vaste cuvette géologique bordée par les massifs du Pamir et des Tian Shan au nord et à l’ouest et par la cordillère du Kunlun puis le plateau du Tibet au sud. Il se situe à l’ouest du désert de Gobi. Avec 1 000 km d’ouest en est et 500 km du nord au sud et une surface de 270 000 km2.

Ce désert très ancien est un désert de sable mouvant, avec environ 85% de sa surface constituée de dunes de sable mouvantes. Lors de la création de la route qui le traverse du nord au Sud une plantations d’arbustes d’environ 50 mètres de large longe la route pour fixer le sable. Environ 120 cabanons avec pompes sont installés pour irriguer ces arbustes. Une traversée impressionnante.

Une autre façon de transporter des voitures sur des chevalets !

Le 2 septembre nous quittons la Chine avec autant de questions qu’au départ. Et content de poser les baskets.